crimes contre l'humanite par jean-bertrand aristide

Patcheko... - February 2 2011, 3:44 AM

LES CRIMES CONTRE
L'HUMANITE PAR JEAN-BERTRAND ARISTIDE
PRESIDENT DEFACTO DE LA REPUBLIQUE D'HAITI

1.- Tribunal Penal International
Att:Greffe de l'Instruction
La Haye - Pays-Bas
2.-Haut Commissariat aux Droits de l'Homme
Att: Rapporteur Special /Bureau du Haut Commissaire
& Representant du Secretaire General des Nations Unies
3.-Organisation Mondiale contre la Torture
Att;M.Eric Sottas
4.-Congres Mondial Africain/Regards Africains - Geneve-Suisse
5.-Comite International de la Croix-Couge (CICR)

OBJET: DEMANDE URGENTE D'INTERVENTION DE LA
COMMUNAUTE INTERNATIONALE

La Plate Forme de l''Opposition a annonce, a partir de ce mercredi 7 Janvier 2004, toute une une serie d'initiatives pacifiques, pour clamer haut et fort le rejet des populations haitiennes du pouvoir dictatorial
de M.Jean-Bertrand Aristide.

Les menaces du pouvoir sont claires et sans equivoque: toutes manifestations, sous quelque forme que ce soit sont des actes '' d'hostilite'' innaceptables contre le pouvoir, assimile a une tentative de '' putch populaire, donc a une declaration de '' guerre ''a laquelle les partisans du President Jean- Bertrand Aristide se sont autorises a donner la replique par tous les moyens, y compris l'utilisation des armes lourdes, les represailles de toute nature.

Le pouvoir s'est reseve les droits et prerogatives d'y souscrire par la voix de M. Mario Dupuy, Secretaire d'Etat a la Communication et porte-parole du Gouvernement.

..Il a bien averti que la Police aurait des ordres precis d'agir avec l'extreme rigueur a l'encontre des fauteurs de troubles.

Il justifie ces predispositions par le souci du gouvernement de ne pas lacher prise
aux anarchistes et aux casseurs chimeriques, se croyant au-dessus des lois de la Republique.:Ce, avant que la situation n'echappe au controle du President qui ne se demettra sous les pressions, ont declare d'autres officiels et supporters offficiels du gouvenement, outre M. Mario Dupuy, Porte Parole et grand apologiste des crimes denonces ci-apres.

La morale nous retient de les publier tous par respect pour la diginte humaine.Les moins ignominieux seraient des tetes coupees placees sur des tas de detritus puants et ornes de tracts, appelant aux violences physiques contre des opposants au regime et destruction de biens materiels et etablissements commerciaux et industriels de ces derniers.

Ou encore le cadavre de cette fille, a l'age de puberte abbatue, les seins tranches pres de ses levres ensanglantees, dans uns endroit public tres passant: une expedition punitive pour avoir participe, la veille, a des manifestations anti-gouvernmentales.

A Petit-Goave, une famille entiere a ete sexuellement agressee de nuit: la mere et ses trois filles violees dont la plus jeune a 14 ans, sous le regard de leurs fils et un jeune frere de 8 ans, par 6 policiers en uniforme, a visages decouverts, en toute impunite et dans l'indifferences de leur chef hierarchique, aupres duquel, les victimes ont porte plainte le lendemain.

La reponse etait sans equivoque:

Ce sont les motivativations et justifications de ces denonciations, en prelude, a une denonciation en bonne et due forme, pour une inculpation, par les '' PROCEDURES D'URGENCES''de M.Jean -Bertrand Aristide, President en Exercice, par le Procureur du Tribunal Penal International.

Ses Responsabilites etant engagees comme telles, de meme que celles de son gouvernmenet, en vertus des considerations et principes generaux et statutaires de la Cour Criminelle Internationale, de la Cour
Penale Internationale.

Toutes initiative du Haut Commissariat aux Droits de l'Homme ou des instances subsidiaires, ne contredit pas et n'altere pas les Procedures futures, en cours, de Mise en Accusation des Regimes des Presidents Jean-Bertrand Aristide 1991 -1995 & 2001 - 1003, de Rene Preval (1995-
2001),de leur Gouvernement, des Responsables des Applications des Lois, de Hauts Cadres de l'Adminstration Pubique, des Instances de Gestion, de Controle des Grands Pouvoirs, La Cour de Cassation, la Cour d'Appel, la Direction Generale et le Conseil Superieur, la Cour Superieure des Comptes, la BRH, les parlementaires ayant couvert et cautionne activemnt et passivement toutes les violations ici denoncees

Le peuple haitien demande justice et souhaiterait informer la Communaute Internationale que la reconciliation de la nation haitienne avec elle-meme passe par la justice et l'Eradiction de l'IMPUNITE comme Systeme de Gouvernnement et les Tortures comme: INSTRUMENTS DE L'EXERCICE DU POUVOIR en Haiti, depuis deux siecles (de 1804 a 2004 )

Tous les dossiers devant etre ouverts ou rouverts..A ceux qui ont perdu les siens (un frere, une soeur, une mere.des amis ou voisins),le gouvernement de transition a pour devoir premier et primordial de leur offrir l'Unique Opportunite Historique de demander des explications aux bourreaux et leur eviter l'horreur de reclamer des comptes et de crier vengeance

IL Y AURA UNE JUSTICE, CETTE FOIS POUR TOUS, POUR LES LAVALASSIENS ET POUR L'OPPOSITION ''

Seulement, il fallait avoir le courage de ne pas se faire les complices des criminels, d'affranchir de couleurs et de toutes les opinions politiques et ideologiques.pour ne pas se laisser aller au decouragement.

Nous irons jusqu'au bout de nos demarches et rien ne doit, ne peut nous arreter dans la quete d'atteindre les objectifs de trainer devant le Tribunal Penal International les gouvernements de Aristide-Preval, les apologistes lavalassiens, les parlementaires, Membres de Gouvernement, les Responsables des Applications des Lois (Policiers ou Magistrats), coupables, auteurs intellectuels, executants et complices des crimes, assassinats, tortures, traitements inhumains et degradants, a l'egard du genre humain dont les mutilations des cadavres, a des fins de dissuasion pour terrosiser l'opposition, l'equivalent de tortures psychologiques) ou pour manipulations et surencheres politiques(comme ce fut les cas)entre le 30 Septembre 1991 et le 13 Octobre 1994.

Tous les auteurs, complices ont, au meme degre, commis des'' Crimes contre l'Humanite '': les coupables doivent donc s'attendre a etre cites comme '' Criminels'' et punis comme tels.:fussent-ils, Ministres, parlementaires, Presidents de la Republique, Premiers Ministres, cadres de
la police ou agents de l'ordre, sympaisants ou militants, doubles nationaux ou residents a l'exterieur.

Les premieres mesures de coercition, a leur encontre, ne seront pas des dispositions anticonstitutionnaelles ni des violations des Conventions et Accords Internationmaux auxquels a adhere la Republique d'Haiti ou ont ete ratifies par Elle, et se limiteraient aux seules derogations permises, san porter atteinte aux droits, au respect de la vie, du plein exercice des libertes individuelles, collectives du respect et de la protection des droits humains.

Les Membres de la Cour Superieure des Comptes, de la Cour de Cassation, les Parlementaires, les Cadres Superieurs et Intermediares de la Police Nationale, le Gouverneur de la BRH et Staff, le Directeur General de la BNC, le Conseil d'Administration, les Directeurs Generaux des Administrations Publiques, aussi le Directeur General de APENA, Monsieur Clifford Larose ou des Administrations Autonomes, a compter de la demission du President Jean - Bertrand Aristide devront etre interdits de depart, apres la

chute du regime lavalassien et doivent se mettre volontairement, ou par citation, a la disposition de la justice nationale ou du Tribunal Penal International.

La Resolution de 31 decembre 2003 leur reconnait tous les droits de citoyens haitiens, selon les prescriptions du Protocole International Relatatif aux Droits Civils et Politiques, les Protocloes Additionnels.

Tous les accuses seront traites, tous.sur un pied d'egalite, devant la justice qui se voudrait juste et impartiale.

Les garanties, en maitiere des droits humains et des libertes fondamentales seront celles souscrites par les Conventions sus-mentionnees, a condition de ne pas l

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